Cranbe’Clear : préserver son bien-être intime

Cranbe’Clear® est un extrait de canneberge. Il permet la santé et le confort des voies urinaires grâce aux 20% de proanthocyanidines qu’il contient.

Pourquoi choisir Cranbe’Clear© ?

20% de PACs (BL-DMAC)

180 mg/j pour atteindre la dose de 36 mg/j de PACs

Annexes II et III du décret français “Arrêté Plante”

Cranbe Clear

Qu’est-ce que Cranbe’Clear© ?

Cranbe’Clear® est un extrait de canneberge aussi connu sous le nom de cranberry (Vaccinium macrocarpon Aiton). Originaire de l’Amérique du Nord, et plus particulièrement au nord des Etats-Unis et au Canada, il contient naturellement 20% de proanthocyanidines (PACs) mesurés par la méthode améliorée et spécifique :  BL-DMAC . Cranbe’Clear® aide à diminuer l’adhérence des bactéries E. Coli aux cellules du tractus urinaire.

Cranbe’Clear : dose d’efficacité.

Sur la base d’études cliniques, l’ANSES a retenu que la dose de 36 mg de PACs/jour issue de canneberge montrait un effet anti-adhésion de certaines bactéries (principalement E. coli) à la muqueuse urinaire. Par conséquent, elle a également validé la BL-DMAC comme méthode de référence pour confirmer cette dose : 100 mg de Cranbe’Clear® contient au minimum 20 mg de PACs par dosage, soit 180 mg pour obtenir la dose de 36 mg de PACs recommandée.

La BL-DMAC : notre méthode d’analyse de référence.

Plusieurs méthodes existent pour doser les PACs mais les résultats varient d’une méthode à l’autre. Nous utilisions la BL-DMAC reconnue pour être une méthode fiable, rapide et très précise. En outre, cinq laboratoires internationaux l’ont validée 1 et publiée dans le Journal of the science of food and agriculture. Ainsi, elle est confirmée comme méthode de référence pour mesurer la teneur en PACs. L’utilisation d’une telle méthode est un gage de confiance. Elle garantit des produits bien dosés et donc une efficacité auprès du consommateur final.

1. Prior R. et al.Journal of the Science of Food and Agriculture, vol 90, Issue 9. 21 april 2010.  http://www.dmac-asso.org/

Idées d’association par axe santé

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La canneberge

La canneberge est aussi connue sous le nom de cranberry (Vaccinium macrocarpon Aiton). Originaire d’Amérique du Nord, cette formidable petite baie rouge est l’allié féminin par excellence. D’ailleurs, elle devient de plus en plus populaire en Europe surtout auprès des femmes.

Notre microbiote intestinal est composé de milliards de bactéries, virus et champignons indispensables au bon fonctionnement du corps. La bactérie E. coli  y est naturellement présente où elle est inoffensive. Dès lors qu’elle migre vers la vessie ou les voix urinaires, elle peut engendrer des inconforts urinaires.

La canneberge a la particularité de contenir des proanthocyanidines de type A. Ces PACS ont un effet inhibiteur sur l’adhésion aux cellules épithéliales urinaires de certaines bactéries, entrainant ainsi une diminuant de la prévalence des inconforts urinaires 1-2.

1. Ermel G, Georgeault S, Inisan C, Besnard M. J Med Food. 2012;15(2):126-34.
2. Liu Y, Black MA, Caron L and Camesano TA.  Biotechnol Bioeng 93:297 (2006).

Culture et production

La canneberge est une plante ligneuse et rampante de la famille des Ericacées. Les premières récoltes peuvent débuter 3 ans après l’implantation de la culture. Les bourgeons se forment à l’automne et nécessitent une protection pendant l’hiver pour fleurir au printemps. Ensuite, la pollinisation entraîne la formation des baies blanches, qui deviennent rouge vif avant d’être récoltées en septembre ou octobre.

La récolte se déroule par inondations des champs afin d’entrainer naturellement les baies vers leurs extrémités et éviter tout risque de “casse” du fruit provenant de contacts avec du matériel ou des outils. Elles sont ensuite collectées.

On peut utiliser les baies de canneberge fraîches, séchées ou déshydratées, ainsi que pour fabriquer du jus ou des extraits. Le marc de canneberge, co-produit du pressage du jus, sert également à l’extraction en raison de sa composition en anthocyanes.

Etudes des effets de la canneberge sur l’incidence des inconforts urinaires

Etude Howell AB et al. 2010

Une étude1 multicentrique a évalué l’effet d’une supplémentation en canneberge contenant différents dosages en PACs (18, 36 et 72 mg de PACs/jour) sur l’activité antiadhérente d’E. Coli chez 32 femmes (Japon, Hongrie, Espagne et France) en bonne santé et ne présentant pas d’infection urinaire au moment de la sélection.

Les premiers résultats ont démontré une activité antiadhérente significative dans les urines collectées auprès des volontaires ayant consommé de la canneberge par rapport au placebo (p<0,001). D’autre part, les résultats de la mesure de l’indice d’adhésion sur les cellules épithéliales (cf. figure ci-dessous) ont révélé qu’après une supplémentation en canneberge dosé à 36 ou 72 mg de PACs, l’indice d’adhésion des bactéries est significativement inférieur à celui où le supplément était titré à 18 mg de PACs.

 

Ainsi, 36 mg de PACs/jour offre une activité antiadhérente optimale pour limiter l’adhésion des bactéries aux cellules de la paroi des urètres.

1. Howell AB, Botto H, Combescure C et al.BMC Infect Dis 2010;10:94.

Etude de Caljouw et al. 2014

Des chercheurs néerlandais ont mené une étude1 multicentrique sur 516 femmes pour observer l’effet d’une prise quotidienne de canneberge titré à 18 mg de PACs/jour pendant un an sur l’incidence des inconforts urinaires. A l’inclusion, les sujets étaient en bonne santé mais présentaient un risque d’inconfort urinaire classé de base élevé.

Les résultats ont révélé qu’une prise quotidienne de canneberge dosée à 18 mg de PACs/jour seulement a réduit l’incidence des inconforts urinaires de 26%.

1. Caljouw et al. JAGS 62:103–110, 2014